4e de couverture

E19 - Alexandre Fabre - Science-Fantasy et création littéraire

Jo Season 1 Episode 19

Alexandre Fabre, éditeur visionnaire et auteur passionné, vient partager son parcours unique et son amour pour le genre science-fantasy, souvent méconnu. À travers son expérience, découvrez comment il a su transformer sa formation en biologie en un univers littéraire fascinant où science et magie s'entrelacent harmonieusement. Cet épisode promet de révéler des aspects inédits de la création littéraire et des défis propres à l'édition, tout en offrant une plateforme aux voix émergentes de la science-fantasy grâce à sa maison d'édition, La Corrésale.

Rejoignez-nous pour une conversation inspirante avec un jeune auteur de science-fiction, dont la passion pour l'écriture a pris racine dès ses années de lycée, nourrie par des influences épiques telles que Star Wars. Son ambition de construire un univers narratif riche et interconnecté est aussi audacieuse que captivante, avec des projets allant de la littérature aux jeux vidéo. Cette multitude de projets témoigne de la détermination et de l'originalité nécessaires pour équilibrer des passions diverses, allant même jusqu'à la gestion d'un restaurant-bar.

Enfin, plongez dans les récits captivants d'Alexandre sur l'écriture de romans horrifiques dans un univers science-fantasy, ainsi que sur l'exploration de concepts innovants tels que la "corrélation" entre nature et culture. Découvrez les réflexions philosophiques qui sous-tendent ses créations et les défis financiers auxquels les auteurs français sont confrontés aujourd'hui. Cet épisode est une invitation à explorer les frontières entre imaginaire et réalité, et à redécouvrir l'impact de ces mondes fictifs sur notre compréhension du monde réel.

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4e de couverture:

Speaker 1:

Sous-titrage ST' 501. Bonjour et bienvenue sur 4ème de couverture. Aujourd'hui, je suis avec Alexandre Fabre. Bonjour, alexandre.

Speaker 2:

Bonjour Jocelyne Enchanté.

Speaker 1:

Enchantée. Alors, alexandre, est-ce que vous pouvez vous présenter brièvement pour ceux qui vous connaissent?

Speaker 2:

pas. Alors, je suis Alexandre Fabre. Je suis éditeur de la maison d'édition La Corrèze Halle et auteur du roman L'Apogée des Humadis, la Chute de Tasteg. J'ai fait mes études à Toulouse dans le domaine de la biologie, dans le domaine de la biologie de la biologie de laboratoire spécialisé, en tant que technicien de laboratoire.

Speaker 1:

Parfait. Je voudrais commencer par la chorissale un peu rapidement. Qu'est-ce qui vous a amené à créer une maison d'édition? Pourquoi une maison d'édition et pas simplement vous lancer dans?

Speaker 2:

l'auto-édition. L'idée, c'était de proposer, on va dire, une maison d'édition spécialisée dans la science-fantaisie.

Speaker 1:

OK.

Speaker 2:

Voilà. Donc, je voudrais proposer à d'autres auteurs qui écrivent dans ce genre littéraire de m'envoyer leur manuscrit. Voilà, c'était ça l'idée, parce qu'il n'y avait pas vraiment de maison d'édition spécialisée dans ce genre littéraire-là. Ok, à Toulouse, ou en France en général, en France même à l'étranger. Si jamais il y a des gens qui sont intéressés, on peut envoyer un manuscrit. Aujourd'hui, on peut facilement traduire les écrits littéraires.

Speaker 1:

Quels qu'ils soient donc c'est accessible.

Speaker 2:

les écrits littéraires quels qu'ils soient, donc c'est accessible c'est possible, on va dire de proposer des romans étrangers donc la pochette des humains à 10, ça a été édité et publié par la Grosse Acre c'est une toute petite maison d'édition que j'ai créée à la base pour éditer mon roman, ce qui me permet d'avoir une structure un peu plus solide que le sortir en tant qu'auto-éditeur et aussi avoir la possibilité d'avoir l'occasion d'éditer d'autres auteurs qui font ce genre de littérature.

Speaker 1:

Donc la projet des humanistes, et donc fantasy, science-fiction.

Speaker 2:

Voilà, c'est ça. C'est un mélange de genres.

Speaker 1:

Qu'est-ce qui vous amène dans cet univers-là? Qu'est-ce qui vous amène dans cet univers?

Speaker 2:

J'ai beaucoup d'inspiration, principalement vidéoludique, cinéma, littérature, et aussi mon influence par rapport à mes études. J'ai toujours été fasciné par les sciences, surtout la biologie, donc j'ai créé un univers très orienté sciences biologiques.

Speaker 1:

Donc, vous en Oui, Non, non, allez-y. excusez-moi, je vous ai coupé.

Speaker 2:

Et ce qui fait que ça se sent au niveau de l'univers et surtout de la magie qui est présente dans l'univers, qui est très orientée biologique. On est sur une sorte de magie biologique.

Speaker 1:

Pour ceux qui nous écoutent, qui nous regardent et qui n'ont pas encore lu votre livre, qui ne savent pas très bien où est Alexandre Fabre, qu'est-ce que vous pouvez leur dire par rapport à l'apogée des humanistes, qui pourrait les intéresser?

Speaker 2:

qui pourrait leur dire Oh, j'ai bien envie d'aller voir sur Amazon si ce livre-là je peux me le procurer, par exemple.

Speaker 2:

Il y a vraiment un concept original et ce n'est pas on va dire banal, ce n'est pas on va dire une originalité banale, c'est vraiment unique au niveau du genre de science-fantasy. Ce n'est pas une science-fantasy qu'on a l'habitude d'explorer dans tous les univers de science-fantasy, quels qu'ils soient. Il y a beaucoup d'univers qui exploitent le concept de mélange de magie et de science. L'exemple le plus récent, ça a été Arkane, avec une espèce de recherche sur l'Arkane, justement, cette sorte de magie qu'on ne comprend pas trop. et il y a tout ce côté, avec l'ambiance steampunk et tout l'aspect scientifique, recherche, il y a un petit peu politique. donc, on est sur un peu le même esprit, mais il y a vraiment une singularité dans l'univers, avec ce côté biologie, un écho par rapport aussi à l'actualité. c'est vrai que, avec le recul, je me rends compte qu'il y a, on va dire qu'il y a une transmission, on va dire, de ce que je ressens, on va dire dans l'actualité, par rapport aux conflits internationaux et même au niveau des conflits de logique, surtout en ce moment, avec cette polarisation dans le monde entre, on va dire, la gauche et la droite.

Speaker 2:

C'est vrai qu'il y a vraiment dans le roman, on ressent un petit peu. ça, c'est un peu plus exprimé, puisque là, on a vraiment des personnages qui donnent un peu leurs opinions, même si ce n'est pas, on va dire, ils ne les donnent pas au premier degré. il n'y a pas vraiment ce dualisme que l'on voit dans notre monde. Eux, ils l'utilisent avec leurs propres mots, leurs propres langages, leur propre univers, mais ça se ressent dans l'histoire. Il y en a vraiment des oppositions, des oppositions biologiques entre les humadis stricts, qui est l'espèce présente en Éluroï, et plus, on va dire, ils sont avec les Humadis rasta qui, eux, sont plus, on va dire à Arshem.

Speaker 2:

Ok, Sachant que Arshem, c'est l'équivalent du continent africain et Éluroï, c'est l'europe.

Speaker 1:

Ok, h m. Ça me rappelle certaines choses que j'ai lu aussi dans la bbc tfh. M quelque chose?

Speaker 2:

même. Non, c'est pas non parce que j'aime ça, c'est un nom qui a qui faisait être un petit peu arabisant et Oui, oui, c'est un peu de la phonétique. C'est en fait comme si l'Afrique avait changé de nom au fur et à mesure du temps. L'europe, c'est Eluroi. Donc, vous voyez, c'est quelque chose qui ressemble Eluroi qui élit son roi.

Speaker 1:

OK, ok. Et là, vous parlez justement des personnages qui donnent leur avis par rapport à la politique ou à la situation. À part ça, comment est-ce que vous décririez vos personnages? Combien, il y en a Qui sont-ils?

Speaker 2:

Il y en a beaucoup. Il y en a, on va dire, 16, vraiment principaux, et après, il y en a 8 autres un peu plus secondaires et qui ont leur importance. Après, il y a tous les autres personnages qu'on rencontre dans l'histoire. c'est vrai qu'il y a beaucoup de personnages. ils ont vraiment chacun une fonction dans l'histoire et ils ont une fonction seule et une fonction en groupe. quand ils sont réunis, ou quand ils sont en conflit, en confrontation, et ou quand ils sont seuls, ou quand ils sont même des fois en plus petit comité, ils ont chacun leur. En fait, ils ont vraiment une adaptation en fonction du nombre qu'ils sont, de l'endroit où ils sont Et chacun, on va dire, exprime sa personnalité dans le contexte dans lequel ils sont.

Speaker 1:

Ok, dans ce livre-là, vous plongez dans l'univers fantaisie Qui vous intéresse, vous Vous ajoutez un peu de technologie, de biologie, etc. Parce que c'est quand même, comment dire, c'est aussi un de vos intérêts. Vous avez étudié là-dedans et vous apportez cette différence-là dans votre œuvre par rapport à tout ce qui se fait de fantasy vos personnages, vos histoires. c'est un peu plus vraiment, c'est des questionnements sur la politique, sur, je suppose, comment les sociétés fonctionnent à ce moment.

Speaker 2:

Oui, en fait, il y a vraiment le petit groupe d'étudiants qui sont à l'université, qui ont leur opinion par rapport à leur environnement, c'est-à-dire par rapport à l'école, par rapport à leur gouvernement. Ils ont une critique par rapport à l'école, par rapport à leur gouvernement, ils ont une critique par rapport à leur situation personnelle. Et puis après, il y a d'autres groupes qui ont aussi leur critique et qui sont dans une autre situation, qui sont plus en opposition, on va dire idéologique.

Speaker 1:

On a vraiment des élèves qui sont Et est-ce qu'il y a des personnages là-dedans qui posent des questions ou alors qui critiquent des choses que vous, personnellement, vous critiqueriez, ou c'est absolument Non, pas forcément, c'est vraiment lié à l'univers.

Speaker 2:

Après, on peut l'interpréter comme on veut, mais il n'y a pas vraiment. on va dire mes avis personnels dans le roman. J'ai vraiment un détachement par rapport aux personnages.

Speaker 1:

Ça, c'est votre premier livre. Oui, c'est mon premier livre Vous avez dit, vous l'avez écrit vous étiez au lycée. Vous étiez un très, très jeune homme encore.

Speaker 2:

Oui.

Speaker 1:

C'est très, très, très rare que le premier livre de quelqu'un soit super éloigné de lui-même, donc je suis assez impressionnée. Ça veut dire que vous êtes capable de faire un détachement complet par rapport à l'oeuvre que vous écrivez.

Speaker 2:

Oui, surtout qu'il y a beaucoup de personnages, même si je me suis inspiré de personnages de la Virel, c'est moi plutôt comment je les imagine visuellement mais à aucun moment ils ressemblent aux personnages que je connais. Je les ai pris, je les ai décomposés, j'ai recomposé par rapport à l'univers, je les ai associés, dissociés les uns les autres, et ça a fait une recette assez intéressante et ça a permis, surtout, d'explorer tous les aspects de l'univers, de leur monde, dans leur situation précise. voilà, et à la fin du premier roman, il y a une suite, qui est évidemment prévue, que j'ai commencé et qui suit totalement, on va dire, ce qui est fait dans le premier. On suit vraiment la logique et les personnages évoluent beaucoup.

Speaker 1:

Donc c'est une saga, c'est une série.

Speaker 2:

Oui, une série. Je vais faire un deuxième roman qui sera la suite directe du premier. Après, j'écrirai d'autres romans dans le passé. Mais vraiment le plus gros de l'histoire se fera sur les deux premiers. Ça va raconter un bloc, on va dire une petite saga. Ensuite, il y aura d'autres sagas que j'écrirai plus tard et qui se passent un peu avant.

Speaker 1:

Ok, c'est un peu à la Star Wars, on va commencer, ouais, un petit peu La.

Speaker 2:

Star Wars, c'est très, très proche. C'est sur 30 ans, 30 ans, 30 ans moi, c'est peut-être 1000 ans avant, j'avais commencé un jeu vidéo sur un logiciel qui s'appelle Shiva, un moteur éditeur qui s'appelle Shiva, et j'avais commencé ce jeu en 2014 et justement, qui se passe dans le passé, 200 ans dans le passé.

Speaker 1:

Quand vous avez commencé un jeu vidéo, vous avez commencé à jouer un jeu vidéo, puis vous avez commencé à faire un jeu vidéo.

Speaker 2:

Non, je jouais depuis tout petit, mais j'ai commencé à créer un jeu vidéo inspiré de mon univers, avec les règles de la magie de l'univers. C'était plutôt un prototype. Il n'a jamais été terminé, manque de financement. Puis je cherchais en fait à me faire connaître pour obtenir des moyens de production et ça n'a jamais abouti.

Speaker 1:

Ok, parce que Le concept est toujours là. OK, vous avez essayé de rentrer dans le domaine du jeu vidéo également. Ça, c'est pour rappeler aux gens. On en a parlé un peu hier, lorsqu'on a essayé de faire le premier enregistrement. Vous avez plongé quand même dans le milieu entrepreneurial. Vous avez essayé beaucoup de shows. Vous avez dit que vous aviez un débit de boisson ou une brasserie.

Speaker 2:

Oui, j'ai eu un restaurant-bar pendant huit ans En fait, c'est ça qui m'a arrêté dans mon processus littéraire Et ensuite, après avoir arrêté le bar, j'ai travaillé à temps plein. Donc, je n'avais jamais vraiment le temps de continuer mon aventure. Et je m'y suis remis vraiment il y a deux ans. Et là, je me suis dit, je me suis mis une deadline pour dire voilà, c'est bon, maintenant je le finis, je monte la maison d'édition, je fais tout, je fais quelque chose de propre et c'est ça mais, alexandre, qu'est-ce qui vous intéresse précisément dans le domaine littéraire?

Speaker 1:

parce que vous avez fait plein de choses et vous êtes revenu. Vous avez commencé ça à l'époque et vous y êtes revenu. Ça veut dire qu'il y a quelque chose qui vous attire particulièrement, ou alors que vous n'avez pas pu oublier, vous avez voulu recommencer. Qu'est-ce qui vous attire là-dedans?

Speaker 2:

Je pense qu'il y avait encore des sujets qui n'avaient pas été traités dans les médias, parce qu'entre le moment où j'ai commencé à écrire le roman, il y avait beaucoup de livres, de séries, de films qui n'avaient pas encore traité les sujets que je développe dans ce roman. Entre-temps, il y en a eu qui sont sortis, mais pas de la même manière que ce que j'avais écrit moi.

Speaker 1:

Donnez-nous un exemple de quelque chose qui est sorti et qui pour vous ça ressemble un tout petit peu La série, the Last of Us.

Speaker 2:

Ok, ok, ok Parce qu'à un moment donné, il y a des champignons qui transforment les humains en zombies Et moi j'avais déjà écrit, il y a une partie qui concerne un peu ce passage-là, c'est une petite aventure qu'ils vivent. Dans le premier roman, c'est sorti et ça n'a pas gêné, parce que tous les sujets que je traite dans le roman n'ont rien à voir avec la sorte. C'est juste le concept du champignon zombie. Mais bon, ça, j'ai envie de dire, c'est pas grave. Il y avait un autre exemple, il y avait un nom qui avait été utilisé, par exemple, dans Final Fantasy XIII. J'avais un nom pour nommer les invocations, j'avais appelé ça les symbioses et j'ai changé le nom. Il me semble que vous l'avez lu un petit peu, le roman. Voilà, il y a les spiribioses. J'ai changé le mot de symbiose en spiribiose pour éviter que ça ressemble. Il y a d'autres éléments comme ça qui sont arrivés petit à petit.

Speaker 2:

Par contre, le concept fondamental que j'ai développée, qui est vraiment unique, c'est le système de la magie biologique, avec un concept d'aura, enfin, de portée pour les sorts en attaque, en défense, et il y a un système de jeu de distance entre les, entre les attaquants et les cibles, et ça, c'est quelque chose qui n'a jamais été fait, et même dans le jeu vidéo, dans le processus de jeu vidéo que j'ai produit, j'ai mis en place les règles et les mécaniques de ce système là et comme il n'est jamais sorti, je ne l'ai jamais vu nulle part, je me suis dit vraisemblablement personne n'y a pensé. Je me suis dit tiens, je vais le développer. Il n'y a pas que ça dans l'originalité. Le concept de la magie biologique a des répercussions dans l'univers à tous les niveaux Au niveau industriel, au niveau de l'éducation, au niveau de la santé, au niveau militaire et au niveau géopolitique.

Speaker 2:

C'est pour ça qu'il y a un véritable mélange, je dirais savant, entre la science, la fantaisie et la politique, même au niveau géopolitique. C'est pour ça qu'il y a un véritable mélange, je dirais savant, entre la science, la fantaisie et la politique, même au niveau des couleurs.

Speaker 1:

D'où vous viennent ces idées? D'où vous trouvez l'inspiration.

Speaker 2:

Les études, et aussi tout ce que j'ai vu, tout ce que j'ai lu, tout ce que j'ai entendu, les débats, et petit à petit, ça s'est précisé, ça s'est confirmé.

Speaker 1:

Donc, vous êtes en train de travailler sur le deuxième livre, qui va être vraiment une suite directe du premier.

Speaker 2:

on va dire Oui, c'est une autre façon de. Le rythme est complètement différent. C'est un rythme différent. Ce ne sera pas la même chose dans Star Wars, dans Harry Potter aussi. on est vraiment sur une autre façon de raconter, Est-ce?

Speaker 1:

qu'on retrouve les mêmes personnages.

Speaker 2:

Oui, une bonne partie oui.

Speaker 1:

Mais il y aura.

Speaker 2:

Le premier roman se passe sur quelques jours, le deuxième sur plusieurs années, notre gymnastique intellectuelle. Mais le premier introduit énormément l'univers, il permet de bien comprendre, il permet de bien poser tout ce qu'on doit comprendre et tout ce qu'on doit savoir de l'univers. Et c'est pour ça qu'il y a beaucoup de personnages, c'est pour ça que le roman est assez conséquent. Ça développe bien, ça cadre bien, c'est bien assez précis Et c'est parfaitement imbriqué dans tout le scénario et dans le développement des personnages.

Speaker 1:

Et est-ce que vous avez une date? vous vous êtes fixé une date pour pouvoir le publier. Non, pas encore.

Speaker 2:

Non, ce serait bien que je le finisse avant la fin de l'année, mais bon. Quand on travaille à côté, c'est compliqué, de Ouais j'imagine, de décrire Le travail alimentaire. Reprend plus longtemps, ouais.

Speaker 1:

Donc après celui-là, vous dites que vous reprendre. Donc après celui-là, vous dites que vous allez faire d'autres livres, mais plus 1000 ans avant.

Speaker 2:

Voilà, c'est déjà pour expliquer un petit peu l'origine de l'idée de cette magie de biologie et d'autres sujets. Il n'y a pas que ça.

Speaker 1:

Est-ce que vous êtes fixé déjà un certain nombre de livres à l'avance? Ok, je vais en faire deux pour expliquer, ou je vais en faire trois.

Speaker 2:

Ce sera deux duologies. Ok C'est une duologie une première sur la chute de Tasleg, le deuxième, ce sera l'héritage de Tasleg Et les deux autres, ce sera l'ascension de Tasteg et la suite de la renaissance, la renaissance de Tasteg, qui concerne l'épisode qui était dans le jeu vidéo que j'avais on va dire prototypé- est-ce que vous avez envie, à un moment donné, de remettre ce projet de jeu vidéo au goût du jour?

Speaker 2:

retenter, c'est sûr. J'ai déjà écrit des règles du jeu. D'un jeu de cartes aussi, j'ai plusieurs. En fait, c'est tout un univers transmédia. C'est adaptable dans plusieurs supports Et pour chaque support, il y a une histoire différente à raconter. Le support sert le fond et la forme de l'univers. C'est pas juste pour faire du business, il y a aussi une vraie fonction derrière. Voilà l'idée.

Speaker 1:

Est-ce que vous avez tout ça? c'est vraiment super fantaisie. Science fiction est-ce que vous êtes attiré par d'autres genres? ou vraiment pas du tout, ou pas tout de?

Speaker 2:

suite. Bah, si c'est, je sais pas après, ça dépend, faut voir En général, l'un de mes genres préférés, c'est le fantastique. Ok Voilà, c'est l'un de mes genres préférés, parce que j'aime bien ce côté frontière entre l'irréel et le fantaisiste.

Speaker 1:

Oui, oui, j'ai vu votre entretien avec un collègue québécois.

Speaker 2:

Vous regardez aux frontières du réel et X-Files, voilà, et ça, vraiment, c'est aussi ce qui la science fantaisiste, c'est un petit peu l'évolution. On va dire de la fantastique, le fantastique, c'est très dur à faire. Le fantastique, c'est très dur à faire. Fantastique, je dirais, c'est un genre littéral minimaliste, et pour avoir vraiment l'équilibre parfait entre le côté très réaliste, le rationalisme, et face au côté fantaisiste, sans prendre un camp pour l'un ou l'autre, ça, c'est très difficile à faire. Je pense que c'est l'un des genres les plus difficiles à réaliser en écriture, pour jamais trahir, l'un des genres les plus difficiles à réaliser en écriture, pour jamais trahir l'un des deux camps.

Speaker 1:

Donc, on ne va pas aller dans l'humour, la comédie, on ne va pas y aller Alors j'en fais un peu. Ah oui, dans Humanity, il y a un petit peu d'humour.

Speaker 2:

Je ne sais pas si vous vous souvenez de quelques pics que s'envoient les élèves entre eux. il y a un côté un peu d'humour quand même. Par contre, la romance, pas trop. Je ne suis pas un adepte de romance, ce n'est pas trop mon domaine, mais peut-être que je ne sais pas, ça peut se faire, tout peut se faire, tout peut se faire. moi, par exemple, je critique jamais ceux qui font de la romance ou de la romantésie c'est un genre qui est très utile et très fonctionnel.

Speaker 2:

Je vois beaucoup de critiques littéraires qui se moquent de ça. Je trouve pas ça forcément pertinent, au contraire. Justement, la romance, c'est très utile. Je prends l'exemple de Toilette, qui est un peu un univers fantasy. On est vraiment dans la recherche entre est-ce que je veux? un homme, on va dire très viril, plus fort plus sauvage. Mais voilà, et face à un homme un peu plus romantique, un peu plus Voilà, il y a un peu cette recherche-là. Je trouve ça vraiment intéressant. Moi, je ne critique pas ça, mais ce n'est pas mon genre de prédilection.

Speaker 1:

Tantôt, vous disiez que vous avez un travail alimentaire, puis c'est compliqué de trouver le temps de finir le livre avec toutes vos obligations. Mais en plus d'écrire, d'avoir votre travail alimentaire, vous avez mis une maison d'édition sur pied.

Speaker 2:

Comment est-ce que vous gérez tout ça Après? la gestion n'est pas très difficile. Aujourd'hui, avec l'informatique, c'est quand même assez simplifié, même au niveau administratif, maintenant, tout est informatisé, ce n'est pas très compliqué. Doncités, ça va. C'est un petit coup financier, parce qu'à forcément des frais, un peu de frais bancaires ouais d'avoir.

Speaker 2:

Il faut avoir aussi un compte, il faut un numéro de téléphone. Donc, c'est dit qu'il ya une société, donc il ya quelques petits frais, mais c'est pas non plus insupportable. Et après, par exemple, si demain, je devais me retrouver à voir des auteurs qui arrivaient à m'envoyer leurs manuscrits, voilà par exemple, ce serait un petit peu difficile, encore moins de temps pour l'écriture, mais bon, je suis pas fermé à ce qu'on m'envoie des manuscrits j'en reçois mais rarement, mais j'en reçois, est-ce?

Speaker 2:

que vous en recevez d'intéressants non, en fait déjà, j'en ai pas reçu beaucoup moins de 10 et très souvent, ils sont hors sujet. C'est très difficile de trouver des gens qui font vraiment de la science fantasy. Pourtant, il y a plein de façons d'en faire plein de façons d'en. Pour l'instant, je n'ai rien eu de pertinent. Très souvent, c'est soit de la fantaisie ou soit quelque chose de très simple. On met des robots, on met des dragons. C'est de la science-fantaisie. Non, Ce n'est pas vraiment ça. C'est un peu plus subtil que ça.

Speaker 1:

On discutait avant la rencontre. Vous m'avez envoyé un lien pour votre livre, etc. Oui, je suppose que vous avez une version électronique, mais est-ce que vous avez aussi une version papier? Comment est-ce que vous gérez ce côté-là?

Speaker 2:

J'ai fait imprimer quelques exemplaires. Ensuite, je les vends sur les salons quand j'en fais quelque chose.

Speaker 1:

C'est vous-même qui vous occupez. C'est Coréza, je suppose.

Speaker 2:

Oui, bien, sûr, j'ai même fait quelques petits goodies. Ah oui, oui, j'ai fait des boissons. D'ailleurs, j'en ai une là, vous voyez, c'est des boissons qui rechargent la magie. J'en ai une rouge et une bleue. Les bleues, je n'en ai pas sur place, mais oui, oui, il y a un concept avec ça aussi.

Speaker 1:

Vous êtes très côté business, aussi pas mal Tantôt si vous parlez des cartes qui sont liées. il y avait plusieurs supports pour votre I don't know comment dire votre brand. Et puis vous avez des boissons énergisantes.

Speaker 2:

Oui, c'est des boissons énergisantes. Oui, c'est des boissons énergisantes qu'on peut customiser avec un petit texte.

Speaker 1:

OK.

Speaker 2:

Voilà, avec le concept développé dessus, avec un petit côté, on va dire comment est-ce qu'on pourrait dire ça? Ouais, vraiment ce côté goodies.

Speaker 1:

Vous avez ce côté business là.

Speaker 2:

Un petit peu oui.

Speaker 1:

Mais je suppose que ce qui vous guide, ce n'est pas uniquement ça. Oui, c'est un bon plus Si l'argent suit, c'est certain. Mais je suppose qu'il y a une raison plus profonde à ça, qui fait que vous avez envie de toucher d'autres gens.

Speaker 2:

Oui, il y a une volonté forcément détendre l'univers au plus de monde possible. Mais c'est très difficile de trouver des gens. Il faut se diversifier, il faut se distinguer. Je le fais avec ça, mais malgré tout, c'est très difficile.

Speaker 1:

Pourquoi vous voulez atteindre ces gens. Pourquoi est-ce que vous voulez toucher ces gens?

Speaker 2:

C'est pas que je cherche mon public, je ne trouve pas mon public. Actuellement, je suis dans une impasse parce que je ne trouve pas ces gens-là qui seraient intéressés par cet univers-là. Il y en a, mais comme je suis quasiment personne très peu connu, c'est très difficile. Aujourd'hui, les gens achètent les livres pas pour ce qu'ils racontent, mais ils achètent les livres parce que la personne est connue parce qu'elle fait quelque chose, parce qu'elle a fait une dinguerie sur TikTok, voilà.

Speaker 2:

Mais acheter un roman? si j'avais un projet politique, peut-être que je vendrais mes romans, mais en fait, c'est pas le cas là, il n'y a rien. Le problème, c'est que je suis juste un éditeur et un auteur avec une histoire originale, mais c'est pas non plus. Il faut trouver un levier, il faut trouver son public. Je vais le trouver, je suis pas inquiet, mais c'est très, très difficile. Il y a trop de monde, trop de concurrence, et aujourd'hui, les gens ne veulent pas acheter un roman, ils ne veulent pas prendre le risque d'acheter un livre à 20 euros ou à 20 dollars.

Speaker 2:

Je sais pas comment c'est comme ça en fait ils ne vont pas prendre le risque de lire et perdre du temps à lire un roman, passer peut-être une semaine, deux semaines dessus et dire ouais, j'ai perdu mon temps, en fait, sur son histoire. En fait, j'ai déjà vu ça dix fois. C'est nul, j'ai perdu mon temps et mon argent. C'est très difficile et aujourd'hui, on est très sollicités avec les réseaux sociaux, tous les réseaux sociaux existants. C'est infernal, très difficile.

Speaker 1:

Est-ce que ça vous intéresserait? deement, je préfère l'audio. Je suis dans ma voiture, je vais au travail et j'écoute.

Speaker 2:

C'est quelque chose que je vais sûrement développer, mais le livre audio ne représente pas, on va dire, tant de ventes que ça.

Speaker 2:

C'est toujours le livre papier qui fonctionne le mieux, surtout le livre d'occasion. En ce moment, c'est le livre d'occasion qui marche beaucoup, et le livre audio. J'y pense, bien évidemment, puisque je me suis amusé à écouter mon roman avec Word et je me suis relu plusieurs fois, ce qui m'a permis de repérer quelques petites coquilles au passage, et c'est vraiment. Oui, c'est intéressant, moi j'aime bien l'écouter. Oui, effectivement, c'est pareil. Il faut que que c'est lancé, il faut trouver du public.

Speaker 1:

Qu'est-ce que vous voudriez que vos lecteurs gardent de vous? Qu'est-ce que vous voudriez qu'ils pensent de vous? Qu'est-ce que vous voudrie voulez qu'ils disent de vous? je ne sais pas leurs amis, leurs collègues. Lorsqu'ils ont fini de lire la pochette des humanistes, qu'est-ce qu'ils ressentent?

Speaker 2:

Surtout, j'aimerais avoir des retours qui me disent voilà, qu'est-ce que j'ai compris ça, je l'ai compris, ça, je ne l'ai pas compris. Qui me posent des questions. C'est ça, en fait, qui m'intéresserait surtout de savoir, puisque, bon, moi, dedans, je ne suis pas vraiment représenté. Donc plutôt, moi, ce qui m'intéresse, c'est de savoir qu'est-ce qu'ils ont compris du fond de la forme. Est-ce que ça, bon évidemment, est-ce que ça leur a plu? mais il n'y a pas que ça, il y a vraiment le retour de comment est-ce qu'ils le voient par rapport à d'autres œuvres, par rapport à la mienne, par rapport aussi, comment est-ce qu'ils pourraient me percevoir? aussi, c'est intéressant de dire voilà, je te voyais comme ça, pas comme ça. Des gens, quand ils ont vu mon interview avec votre confrère, ils ont été assez surpris. Comment ça, ma façon d'être? Oui, ils ne me pensaient pas comme ça. Pourtant, des gens proches aussi de ma famille, justement, c'est une question que je pose souvent à mes invités.

Speaker 1:

Ça va dans ce sens-là. Si, par exemple, quel est le petit fait cocasse ou la petite anecdote, si vos proches, justement, la connaissaient ou le connaîtraient, ça leur ferait un choc.

Speaker 2:

Ils se diraient Waouh, alexandrere, je ne savais pas qu'il était comme ça. Oui, oui, oui, c'est vraiment ça, oui, enfin, oui, j'ai eu vraiment cette attitude là, mais peut-être qu'il ne pensait pas que je maîtrisais autant mon sujet. Voilà qui se disaient ah oui, quand même, ils savent de quoi ils parlent?

Speaker 2:

Oui, parce que je m'intéresse à mon domaine. Sinon il faut que je change d'activité. C'est vrai que, des fois, ce que j'ai remarqué sur d'autres auteurs, c'est qu'ils ont du mal à parler de leur sujet, à parler de leur histoire, très souvent, quand on leur pose des questions ils tournent en rond.

Speaker 1:

C'est difficile d'avoir de vraies réponses. Vous avez fait la recherche, vous maîtrisez votre sujet. Peut-être, eux, ils sont un peu plus dans l'émotionnel.

Speaker 2:

Oui, oui, il faut que les gens lisent un peu la philosophie. Je pense que c'est important pour qu'ils se renseignent, pour qu'ils lisent un petit peu quelques podcasts, pour comprendre un peu, parce que, des fois, quand tu touches un petit peu à tout le domaine littéraire et pas rester que dans son domaine littéraire, c'est pour ça que je critique pas tous les autres genres littéraires, parce que je sais ce qu'ils racontent, à quoi ils servent et leur fonction. Je sais pourquoi est-ce que la romantésie fonctionne très bien.

Speaker 2:

Et pourquoi ça fonctionne très bien Justement parce que les adolescents se posent beaucoup de questions par rapport aux relations hommes-femmes. C'est le sujet très actuel. Les relations de femmes sont très compliquées aujourd'hui. Les couples ont du mal à se former Beaucoup de gens se séparent.

Speaker 2:

Donc, effectivement, dans la romantésie, qu'est-ce que va chercher Les ados? voient leurs parents se disputer, se séparer, avoir des difficultés pour se mettre en couple. Donc, ils comprennent, donc, ils ressentent ça. Ils cherchent dans ces histoires, même si ce sont des histoires des fois un peu sordides, un peu glauques. Ils se disent détectez les bons et les mauvais comportements. Qu'est-ce que je recherche chez une personne ou chez une autre? Donc, les ados lisent cette littérature Beaucoup plus les femmes que les hommes. D'ailleurs, les hommes devraient lire de la romantique pour comprendre un peu les femmes et vice -versa, les femmes devraient lire beaucoup plus de science-fiction pour comprendre les hommes, parce que c'est vrai que ça devrait être un échange Et c'est vrai que on va dire, dans leur zone de confort, ils ne sortent pas. Et moi, je sors de ça. Je ne reste pas que dans la science-fantaisie, je ne reste pas que là-dedans, ça n'a pas d'intérêt, je m'intéresse aux autres types de littérature, sinon, je ne sais pas, on reste en tournant rond.

Speaker 1:

Et pour vous, qu'est-ce que la science-fantais?

Speaker 2:

que ça apporte un regard par rapport à ce que c'est que la science, par rapport au domaine fantaisiste et mystique. Quelle est l'utilisation de la science dans le réel, quelle est son application, quelle est son utilité. Quand j'ai écrit ce roman, moi j'aimais beaucoup la science et la science fiction et j'ai dit comment je peux faire aimer aux autres la science, je vais leur montrer. C'est sympa, c'est fun. Il y a un côté je dirais presque ludique dans cet environnement et surtout, ça permet d'avoir un certain regard par rapport à la science en général, de ne pas rester dans des croyances purement fantaisistes, rester un peu plus sérieux vous avez dit vous critiquez, excusez, je vous ai coupé, non, mais c'est pas un problème.

Speaker 2:

Je disais que la science-fiction, ça permet aussi d'anticiper des problèmes des technos. La science-fiction sert beaucoup à ça, on anticipe. On prend l'exemple de des problèmes des technos. La science-fiction sert beaucoup à ça, On a anticipé. On prend l'exemple de Minority Report. Je prends l'exemple. Voilà, Minority Report. On dit voilà, on va anticiper. Ça ressemble d'ailleurs un petit peu à la psychotropie d'Isaac Asimov, c'est-à-dire, on va anticiper les comportements, on va anticiper les comportements, on va anticiper les situations. On va anticiper D'ailleurs, c'est une critique de l'anticipation soit déjà, Mais on ne va pas prendre des décisions en fonction de ce qui va se passer dans le futur. Non, Il faut faire attention, parce qu'il faut très bien qu'il y ait un petit souci, une erreur de calcul, ou quoi. Voilà, c'est ça, anticiper les risques. C'est à ça que sert la science-fiction, Et rationaliser la fantaisie aussi.

Speaker 1:

Donc vous disiez que vous ne jugez pas. vous ne critiquez pas forcément les autres genres, mais la plupart du temps, quand je discute avec certains auteurs, j'entends souvent que la facilité, le genre facile, qui est super facile à rentrer apparemment, qui est plus rentable que les autres, ce serait l'horreur et l'épouvante Pour vous. à quoi ça sert de ce genre là?

Speaker 2:

Et est-ce que vous Rationaliser les peurs. Toujours, c'est une question de se rassurer. Voilà, on se rassure. Moi, j'ai un projet d'écrire un roman horrifique, mais toujours dans l'univers science-fantasy, donc avec plus un côté Là, dans la plus immédiate, c'est plus la géopolitique. Là, j'ai écrit un roman que j'ai dans un placard, c'est un roman, on va dire, de science-fantasy, mais avec une histoire d'horreur, et se dire peut-être aussi faire rationaliser par rapport à la mort. Ça, c'est un des sujets du roman que je voudrais développer. Et ne pas prendre des décisions, des fois par rapport à sa vie, à sa survie. Bon, je ne veux pas spoiler le roman.

Speaker 2:

Alors, que je ne l'ai même pas écrit, mais je sais ce que je vais mettre dedans, ce que ça va raconter, quelle est l'histoire, le début, la fin. J'ai pas mal de projets dans les placards. et oui, l'horreur, je ne savais pas que c'était le roman qui fonctionnait le mieux c'est ce que j'ai cru y comprendre d'accord, moi je pensais que c'était la romantésie ou la romance qui fonctionnait très bien, mais non, c'est plus.

Speaker 1:

L'horreur bon, c'est ce que j'ai cru comprendre de cet auteur peut-être, je ne sais pas.

Speaker 2:

Moi, je regardais beaucoup de films d'horreur quand j'étais jeune, mais je me suis lassé. Je ne sais pas pourquoi j'en regarde plus trop.

Speaker 1:

La Projette des Humanistes. Le livre est disponible sur Amazon. Je l'ai vu sur Kindle en France. Est-ce qu'il est dans certaines librairies?

Speaker 2:

à Toulouse, principalement à Toulouse, ok vous êtes de Toulouse oui, il n'est pas dans des librairies, malheureusement, mais c'est comme ça. Déjà, il faudrait que je vois si ça fonctionne dans les librairies à Toulouse et après je m'étendrai, si jamais ça fonctionne vous êtes toujours à Toulouse. Présentement, vous êtes dans la région oui, toujours à Toulouse après la version Amazon. Elle est très bien c'est bien pour ceux. C'est vraiment dans les salons quand je fais l'éducation. Il peut y avoir une version différente, ça ne change rien.

Speaker 1:

Et des petites boissons en cadeau il faut être dans les salons pour avoir les petites boissons voilà exactement.

Speaker 2:

Elles sont offertes avec l'achat d'un roman. Est-ce que vous avez, est-ce que vous avez une boutique?

Speaker 1:

Voilà exactement Elles sont offertes avec l'achat d'un roman. Est-ce que vous avez une boutique en ligne ou quelque chose de ce genre? Non, pas pour l'insta.

Speaker 2:

Non, les boissons, c'est vraiment du produit marketing commercial. Ce n'est pas vendu.

Speaker 1:

Ok, merci beaucoup d'avoir été avec nous aujourd'hui, alexandre, est-ce que vous avez un dernier mot pour ceux qui nous écoutent ou nous regardent?

Speaker 2:

écoutez vraiment, n'hésitez pas à aller sur Amazon, lire déjà le premier chapitre, qui est disponible pour tout le monde, pour ceux qui voudraient, qui s'intéressent à ce genre de littérature, en espérant que ça puisse les convaincre de pouvoir commander un et aux auteurs qui auraient des récits à me proposer. Je suis toujours là pour recevoir leurs manuscrits. Donc, il faut se rendre sur le site et voilà, vous verrez, il y a tout ce qu'il faut pour vous expliquer la procédure d'envoi. En fait, en France, le problème qu'on a en France, c'est qu'il faut, pour vous expliquer la procédure d'envoi. En fait, en France, le problème qu'on a en France, c'est qu'il n'y a pas d'argent. La plupart de l'argent qui est présent, c'est de la subvention de l'État.

Speaker 2:

Oui, voilà, et donc, pour avoir la subvention de l'État, il faut être copain avec machin. C'est un peu une. Ils ont des, ils ont des, ils ont des thématiques, des sujets, ils doivent être mis en avant. Il ya une visite et si ça le machin, et au final, ça marche pas, contrairement à la vision américaine, nord-américaine, et un peu bien mon cas, ils sont un peu plus équilibré, c'est le milieu au milieu des deux, mais voilà et.

Speaker 2:

Mais en france, il ya trop le passé. J'ai la bonne idée et ça va marcher. Je mange le jeu, le jeu le voit très bien. Je me suis dit je sais pas, parce que j'ai une bonne idée que ça va marcher non plus. J'ai fait le jeu vidéo, j'ai fait les boissons. Voilà, je traite de ce sujet. Je me suis intéressé au niveau de la littérature, aux autres genres littéraire, etc. Et là, je me suis dit bon, là j'ai, je vais me bouger. Et malgré ça, c'est difficile, encore meilleur. Il faut être encore meilleur, encore meilleur et proposer d'autres choses.

Speaker 1:

Voilà, il faut jamais abandonner et vous avez une niche assez spéciale. Oui, je sais, mais c'est pas grave.

Speaker 2:

Il y a un public si moi j'écris ce public il faut le trouver, mais je l'ai trouvé.

Speaker 1:

Je suis inquiet.

Speaker 2:

Et dites-moi, la corrélation, d'où ça vient ce mot-là? C'est un mélange entre corrélation et causalité, c'est un élogisme, en fait, entre les deux. D'ailleurs. Science-fantaisie la science, c'est le côté réel et la fantaisie, c'est le côté réel et la fantasy, c'est le côté réel et la causalité, c'est tout ce qui est observationnel, tout ce qui est cause, conséquence, et la corrélation, c'est culturel, nature, culture, science, fantasy, réel irréel, enfin, réel virtuel.

Speaker 1:

Il faudrait le savoir c'est dit dans le site, sous le site ok, oui, ben dis donc, il faudrait le savoir.

Speaker 2:

par exemple, c'est dit dans le site. sous le site, c'est écrit Ok, voilà. mais je prévois d'écrire un livre, un essai philosophique sur ça, sur la corrélation et causalité entre nature et culture.

Speaker 1:

Ok, Non, ça c'est un genre ok.

Speaker 2:

Un décès philosophique. C'est un petit truc pour expliquer le concept.

Speaker 1:

Merci beaucoup, on garde contact.

Speaker 2:

Merci. Sous-titres par Juanfrance.

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